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Library wars - Love and War - Tome 01 (French Edition) Kindle & comiXology

4.4 4.4 out of 5 stars 14 ratings

Japon, un futur sombre et incertain...

Au début de l’ère Seika (ère fictive), le gouvernement a voté un texte appelé “Loi d’Amélioration des Médias” et qui vise en réalité à un contrôle renforcé de la culture. L’armée est ainsi mise à profit pour censurer et détruire les ouvrages susceptibles de troubler l’ordre public, ou de porter atteinte aux valeurs de la patrie !

Afin de lutter contre cette répression, les bibliothèques se sont fédérées et mobilisées afin de créer une unité d’élite spécialement entraînée pour protéger les livres et leurs lecteurs. Depuis que, lectrice, elle fut sauvée d’une rafle par un des membres de cette unité d’élite, Iku Kasahara rêve d’en faire partie à son tour. Mais l’entraînement, mené d’une main de fer par son instructeur, s’avère impitoyable !

Adaptée d’une série de romans à succès écrits par Hiro Arikawa, “La guerre des bibliothèques” est une incroyable oeuvre de politique-fiction, à la fois grave et prophétique, mais non dénuée d’humour, qui emprunte autant à Appleseed qu’à Fahrenheit 451. Une ode à la liberté et aux livres, originale pour ne pas dire unique en son genre, qui fut adaptée en une série télévisée à succès réalisée par le prestigieux studio I.G. (Ghost in the Shell).

Le roman a été vendu à près de 1.5 millions d’exemplaires au Japon, et a été distingué du “2008 Seiun Award for a long fiction”, équivalent asiatique du prix Hugo. Les éditions Glénat auront le plaisir de proposer au public le premier volume du roman en septembre 2010 !

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Product details

  • ASIN ‏ : ‎ B07G37GBDK
  • Publisher ‏ : ‎ Glénat Manga (August 8, 2018)
  • Publication date ‏ : ‎ August 8, 2018
  • Language ‏ : ‎ French
  • File size ‏ : ‎ 223602 KB
  • Text-to-Speech ‏ : ‎ Not enabled
  • Enhanced typesetting ‏ : ‎ Not Enabled
  • Word Wise ‏ : ‎ Not Enabled
  • Sticky notes ‏ : ‎ Not Enabled
  • Print length ‏ : ‎ 194 pages
  • Customer Reviews:
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Poignant
5.0 out of 5 stars Manga vraiment passionnant, sur la liberté de s'exprimer, penser et sur la lecture!
Reviewed in France on February 7, 2022
Je le recommande à 100%, bon manga sur la liberté de lire, s'exprimer, penser,... qui fait réfléchir, et que dire des personnage attachant et bien développé, à part lisez le!!
Aurélie S
4.0 out of 5 stars De beaux dessins, une histoire pleine de tonus et d'humour
Reviewed in France on December 3, 2014
[...]

Il s’agit donc d’une adaptation manga d’un roman. Le sujet traité part de quelque chose de très sérieux, qui rappelle ce qu’ont pu faire vivre de nombreux dictateurs à leurs populations, ou qui rappelle encore le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury : le premier pas vers la dictature est l’obscurantisme et le contrôle des informations et des connaissances d’une population.

Comme les troupes d’Hitler ont brûlé de nombreux livres, comme la Corée ou la Chine contrôlent les lignes éditoriales et les connexions Internet, la première façon d’atteindre un peuple est de contrôler son accès à la culture ou de tuer ses auteurs « libre penseurs ».

Lorsque l’on ouvre la première page du premier tome de ce manga, cela fait plusieurs dizaines d’années que le peuple n’a plus accès, dans les librairies, à la totalité des œuvres qui ont été publiées au Japon.

Certains livres ont été perdus à jamais, d’autres ont pu être sauvés par des bibliothécaires qui se sont opposés au gouvernement et ont réussi à créer une coalition et une armée pour protéger l’accès à la culture, bien encadré mais néanmoins libre, si tant est que vos parents et votre entourage vous laisse accéder à ces bibliothèques.

Kasahara, l’héroïne, a toujours aimé les livres, et c’est en voulant sauver la suite d’une de ses sagas préférées qu’elle manque, alors qu’elle est encore lycéenne, se faire arrêter par la police qui est en train de rafler les bouquins de la librairie où elle se rend habituellement.

Pour tenter de sauver son livre, elle décide de se faire accuser de vol, ultime geste de rébellion face à la censure, et est sauvée par un gars top la classe (on reste dans un manga, hein) qui est bibliothécaire et fait valoir son droit de préemption sur l’ensemble des livres de la librairie pour ensuite offrir le volume tant désiré à Kasahara.

Kasahara, qui a visiblement besoin de lunettes, va oublier le visage de son prince charmant, mais pas sa vocation, et tente de rentrer dans le Corps des bibliothécaires dès le lycée fini.

Sa force, c’est justement son endurance physique: Kasahara est un vrai garçon manqué, très sportive, et elle souhaite rejoindre l’unité armée du Corps des bibliothécaires.

Elle entretient des relations très conflictuelles avec son supérieur direct, Dojo, qui semble ne souhaiter qu’une chose la voir abandonner…

Voilà le pitch de départ pour ce manga en 15 tomes.

Ici, point de citation de contes, point d’histoires de vie: le sous titre de ce manga est « love and war ».

On devine rapidement l’identité du prince charmant de Kasahara (mais mets des lunettes et réfléchis bon sang!), et le manga est surtout le prétexte à suivre l’évolution de cette jeune fille qui capitalise tout sur ses aptitudes physiques et est très impulsive et irréfléchie, passionnée et totalement investie par son idéal de défense de la culture.

Ce manga est drôle, et parvient à traiter de sujets sérieux tout en ajoutant une dose de légèreté et de romantisme.

Il est très difficile pour moi de vous en parler plus en détails sans risquer de vous dévoiler une bonne part de l’intrigue, mais chacun des personnages et très travaillé, qu’il soit principal ou secondaire, et le passé et l’histoire du Corps des bibliothécaires est très bien retranscrit: il permet de faire un parallèle intéressant avec l’histoire de notre monde et de prouver la force des livres.

Les gestes forts de chaque dictature commencent souvent par ces gigantesques brasiers d’auteurs mis au ban, et encore aujourd’hui des colombiens, des coréens, des chinois, des auteurs de pays occidentaux sont contraints de se réfugier dans d’autres pays pour continuer à écrire.

Mais à côté de ça la vie continue, elle le doit, et il faut aimer, rire, et se battre pour ses idées.

Alors même si ce manga n’échappe pas à certains clichés, il est pour moi une belle réussite, et j’adore le lire.

On y traite autant de sujets politiques comme les difficultés à concilier politiques gouvernementales, lobbys d’oppositions avec les principes du corps des bibliothécaires, et les luttes armées et pertes humaines que cela entraîne …

Ou encore des petites histoires du quotidien de personnes qui continuent à vivre, à aimer et à grandir dans un pays en guerre.

Je ne connais pas les romans, et le manga ne me donne pas forcément envie de les lire, j’aurais presque peur que ça m’enlève tout le plaisir de lecture du titre imagé … un peu comme lorsqu’on a aimé l’animé Escaflowne et qu’on commet l’erreur d’ouvrir le manga papier!

Mais sans qu’il s’agisse d’un coup de cœur, il s’agit pour moi d’une très bonne lecture.
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